De l’évaluation d’une startup technologique à celle d’un acteur indépendant de l’énergie, d’un contexte de développement stratégique ou de procédure de sauvegarde, Tourville Finances a réalisé des missions d’évaluation aux enjeux et contextes variés.

Dans l’environnement économique actuel l’évaluation indépendante d’entreprise devient de plus en plus un outil stratégique.

L’évaluation d’entreprise : un levier stratégique face aux mutations du marché

Dans un contexte économique en perpétuelle évolution, l’évaluation d’entreprise s’impose plus que jamais comme un outil stratégique essentiel. Que ce soit pour accompagner des levées de fonds, des transmissions, des restructurations, ou une réorganisation de l’actionnariat, cette expertise permet de poser un diagnostic stratégique et financier précis sur la valeur intrinsèque d’une société.

Mais qu’est-ce qui rend cette discipline particulièrement actuelle aujourd’hui ?

L’impact des tendances récentes sur la valorisation

L’instabilité financière et géopolitique mondiale remettent en jeu sur des cycles de plus en plus courts les perspectives économiques. Ces facteurs influencent directement les méthodes d’évaluation, notamment à travers l’analyse des risques, le diagnostic stratégique et l’ajustement des taux d’actualisation.

Ces dynamiques nécessitent une adaptation des méthodes d’évaluation pour tenir compte des nouveaux enjeux, qu’ils soient liés aux risques ESG, aux ruptures technologiques, ou à l’inflation persistante.

Le rôle croissant des critères extra-financiers

Les évolutions réglementaires, telles que la directive CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive), redéfinissent les priorités des investisseurs et des dirigeants. Désormais, la valeur d’une entreprise ne se limite plus à ses performances financières : les critères extra-financiers, comme la durabilité, l’impact environnemental ou la gouvernance, deviennent déterminants. L’évaluation doit désormais intégrer ces dimensions pour refléter une valeur plus globale.

Une expertise cruciale dans les opérations stratégiques

En 2023 et 2024, les fusions-acquisitions ont ralenti dans certains secteurs. L’évaluation d’entreprise joue ici un rôle clé en permettant une transparence accrue, rendant indispensable l’intervention d’experts capables d’analyser l’ensemble des paramètres financiers et stratégiques.

Un avenir où l’évaluation s’adapte

À l’aube de nouvelles transitions économiques et technologiques, l’évaluation d’entreprise évolue pour intégrer des outils innovants, tels que l’intelligence artificielle et les analyses prédictives. Ces avancées permettent d’offrir des diagnostics plus précis et rapides, tout en renforçant la capacité des entreprises à anticiper les changements du marché.

En conclusion, l’évaluation d’entreprise ne se limite pas à une photographie de la valeur actuelle. Elle devient un instrument d’anticipation et de stratégie, capable d’accompagner les entreprises dans leurs défis présents et futurs. Dans un monde incertain, cette expertise représente une boussole précieuse pour orienter les décisions des dirigeants.

N’hésitez pas à prendre contact avec nous si vous souhaitez une évaluation indépendant de votre société : contact@tourville-finances.fr

EXPERTISE AUDIT CONSEIL

    46, rue du général Foy

    75008 Paris

    01 42 94 18 82

Tourville Finances est inscrit sur la liste des commissaires aux comptes certifiés par la H2A en matière de durabilité, habilités à certifier les rapports de durabilité des entreprises.

En effet, depuis janvier 2024, la directive CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) introduit un cadre renforcé en matière de reporting de durabilité pour les entreprises européennes, y compris en France. Ce nouveau dispositif marque une évolution majeure dans la transparence des pratiques ESG (Environnement, Social, Gouvernance) des entreprises. Voici ce qu’il faut savoir sur les nouvelles obligations.

Un rapport de durabilité obligatoire

Les entreprises concernées doivent désormais établir un rapport de durabilité en complément des rapports financiers traditionnels. Ce rapport, qui suit les normes européennes ESRS (European Sustainability Reporting Standards), doit inclure des informations détaillées sur :

• L’impact environnemental : émissions de gaz à effet de serre, consommation de ressources, gestion des déchets.
• Les aspects sociaux : conditions de travail, égalité des genres, respect des droits humains.
• La gouvernance : éthique, lutte contre la corruption, stratégie ESG intégrée.

L’objectif est de permettre aux parties prenantes – investisseurs, clients, partenaires – de mieux évaluer la performance extra financière des entreprises.

Champ d’application élargi

Initialement, la directive s’adresse aux grandes entreprises européennes, mais son application s’élargira progressivement :

• 2024 : grandes entreprises de plus de 500 salariés déjà soumises à la NFRD.
• 2025 : entreprises de plus de 250 salariés ou 40 M€ de chiffre d’affaires.
• 2026 : petites et moyennes entreprises cotées en bourse.

Audit obligatoire du rapport

Une nouveauté clé réside dans l’audit obligatoire des informations publiées. Les entreprises devront faire vérifier leur rapport de durabilité par un tiers indépendant, garantissant ainsi la fiabilité et la conformité des données. En France, cette mission pourra être assurée par des commissaires aux comptes ou des organismes accrédités.

Défis et opportunités

Pour les entreprises, cette réforme représente un double défi :

• Collecte et structuration des données : mobiliser les équipes pour centraliser des informations parfois disparates.
• Anticipation des exigences : intégrer ces obligations dans leur stratégie à long terme.

En revanche, cela offre aussi une opportunité unique :

• Renforcer la transparence : valoriser leurs efforts en matière de durabilité et attirer des investisseurs sensibles aux critères ESG.

Un accompagnement nécessaire

Pour répondre à ces nouvelles exigences, les entreprises devront s’appuyer sur des experts en durabilité et des outils digitaux adaptés. Les cabinets d’audit et de conseil jouent un rôle clé pour aider à la mise en conformité et à l’établissement des rapports. La mise en œuvre de la directive CSRD marque une étape cruciale dans la transition vers une économie durable. Si les obligations peuvent sembler contraignantes, elles incitent les entreprises à repenser leur impact et à inscrire la durabilité au cœur de leur stratégie. Pour les entreprises françaises, se préparer dès maintenant à ces évolutions est essentiel pour rester compétitives et répondre aux attentes croissantes des parties prenantes. N’hésitez pas à prendre contact avec nous pour vous accompagner, soit dans la certification de votre rapport de durabilité en qualité de commissaire aux comptes, soit dans l’établissement de ce rapport en qualité d’expert-comptable : contact@tourville-finances.fr

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